Les principales causes de la disparition des variétés anciennes locales sont très souvent l’abandon sous la pression de l’agriculture moderne et le vieillissement des arbres.
Le déclin de la diversité fruitière intervient dès le début du XXe siècle et s’accélère durant l’Entre-deux Guerres jusque dans les années 60. Il faut en effet produire en grande quantité des variétés capables de s’adapter sur tous les sols et produisant de façon régulière des fruits faciles à conditionner et à distribuer parfois à de grandes distances.